Catégories : FETICHISMES au pluriel Enema Lavement / Médical
il y a 6 ans
Je m’appelle Mathéo, j’ai 21 ans, je suis étudiant, fraîchement débarqué sur Paris, où je viens par miracle de me trouver un logement pour la rentrée prochaine (c’est-à-dire dans quelques jours), un petit studio à un loyer raisonnable. Je suis encore dans les cartons, mais à vrai dire, j’ai un autre souci qui me perturbe : en effet, depuis mes vacances d’été, je ressens une petite gêne au niveau de mon pénis, lorsqu’il est en érection.
C’est délicat à expliquer, c’est comme si la peau de mon sexe était soudain trop petite et que « tout » me tirait et me serrait. Mais ce qui m’inquiète le plus, ce sont les quelques petits boules que je ressens lorsque je le palpe, même au repos : pas grosses (sans doute quelques millimètres), pas douloureuses, mais bien présentes. Et f o r c é ment, je me dis qu’il y a un lien. J’ai attendu quelques semaines, pour voir si cela allait passer, mais non. Et je me dis qu’il faudrait que j’aille consulter un médecin. Surtout que j’ai évidemment fait ce qu’il ne faut surtout pas faire : aller sur Internet pour me faire mon diagnostic. J’en ai donc appris de belles sur la maladie de Lapeyronie, je n’ai pas f o r c é ment envie de m’étaler dessus, Internet est votre ami à vous aussi après tout. En tout cas, ça aura eu au moins le mérite de m’inciter à prendre rendez-vous chez un médecin.
J’ai donc rendez-vous en fin de journée chez le docteur Liane : j’ai choisi son cabinet un peu au hasard, il est à côté de mon studio et pouvait me prendre le jour même. J’entre donc dans la salle d’attente, personne. J’entends des voix dans la salle à côté : un homme et une femme. J’espère que le docteur Liane est l’homme en question, j’appréhende un peu de parler de mes problèmes de pénis à une femme… Aïe, raté, le « au revoir docteur » que je viens d’entendre a été prononcé par la voix masculine. Bon, c’est sans importance, me dis-je pour me rasséréner.
Puis la porte s’ouvre, et le docteur Liane m’appelle par mon nom. Je me lève, et mon appréhension de fait que grandir : le docteur ou plutôt la doctoresse est pour le moins une jolie femme. Sans doute une quarantaine d’années, mais c’est difficile à dire. Plutôt petite, plutôt menue, mais avec un maintien qui lui donne beaucoup de classe. Les traits de son visage sont doux et contrastent ses cheveux très noirs, coupés courts et qui lui donnent un air strict. Elle m’invite à la suivre à l’intérieur de son cabinet et en s’asseyant derrière son bureau, me demande ce qu’elle peut faire pour moi. Un peu gêné, je lui explique le plus brièvement possible mon problème : érection, gène, petites boules… Le tout doit durer une vingtaine de secondes tout au plus. Le docteur Liane m’écoute d’un air concerné.
— Bon enchaîne-t-elle dès que j’ai terminé, la première chose à faire, c’est de vous faire faire une échographie, pour savoir ce qu’il en est de ces petits nodules que vous me décrivez.
Et ce faisant, elle commence à remplir une feuille de soins. Je suis pour le moins soulagé, je me dis qu’on va en rester là. Malheureusement, elle continue :
— Allez donc vous allonger sur la table, et baissez votre pantalon ainsi que vos sous-vêtements…
Je marque un temps d’hésitation, elle le voit, et poursuit en me lançant un sourire très doux :
— Eh oui, il faut quand même bien que je vous ausculte.
Le chaud aux tempes, je me dirige vers la table, enlève mes chaussures, et commence à défaire mon pantalon. Une fois allongé, je baisse mon pantalon ainsi que mon caleçon. La doctoresse me rejoint. Consciente de ma gène, elle se veut rassurante :
— Ne vous en faites, détendez-vous, ça ne sera pas long.
Et elle commence à me palper le pénis. Heureusement, son toucher est vraiment ferme et très peu agréable.
— En effet, je sens bien quelques petits nodules, dit-elle. Et ils ne sont pas douloureux ? ajoute-t-elle en en pinçant un légèrement.
— Non, je ne les sens pas du tout.
Elle lâche alors mon pénis, et se dirige vers son bureau. Je peux à nouveau respirer et me détendre un peu. Fatale erreur : c’est précisément à ce moment, alors que la doctoresse vient de me lâcher le membre, que je sens un frisson bien connu parcourir celui-ci, signe avant-coureur d’une érection imminente. Heureusement, la doctoresse me tourne le dos, occupée à compléter sa feuille de soin. J’en profite pour remonter rapidement caleçon et pantalon, quand elle se retourne brusquement :
— Attendez, ne vous rhabillez pas tout de suite, j’aimerais…
Elle s’interrompt soudain à la vue de ma verge majestueusement dressée, que je n’ai pas eu le temps d’enfouir dans mon caleçon. Je la vois écarquiller les yeux, et lâcher un « Oh » presque révérencieux. Puis elle ajoute en me regardant d’un air amusé :
— On dirait que vous étiez content que ça se termine !
Je ne sais plus ou me mettre, je bafouille quelques mots d’excuse, mais la doctoresse me rassure à nouveau :
— Ne vous en faites pas, c’est une réaction toute naturelle. J’en ai vu d’autres dans ma carrière de médecin, ne vous inquiétez pas !
Elle poursuit :
— En plus, si je puis me permettre, c’est très bien, parce que ça va sans doute permettre de vous rassurer un peu.
Devant mon air inquiet, elle me demande :
— J’imagine que vous êtes allés vous renseigner sur le net avant de venir consulter ?
Je le lui confirme. Elle me demande ce que j’ai lu, je lui parle de la maladie de Lapeyronie, en ne lui cachant pas que j’étais pour le moins inquiet. Elle me sourit d’un air doux, et tente de me rassurer :
— Non, ne vous en faites pas, je connais un peu cette pathologie, et honnêtement, pour moi, ce n’est pas ça du tout.
Tout en continuant à me parler, elle saisit ma verge toujours tendue, entre le pouce et l’index :
— Vous voyez, sur la maladie de Lapeyronie, on observe plutôt des plaques rigides sur la verge, et non pas des nodules comme sur la vôtre.
Tout en me disant ça, je sens ses deux doigts parcourir doucement le corps de mon pénis, à la recherche desdits nodules. Est-ce que c’est dans ma tête ? Mais j’ai l’impression que son toucher est bien plus doux que la première fois, presque effleurant… Cela ne m’aide pas vraiment, et je sens mon pouls s’accélérer d’un coup. Semblant ne pas voir mon émoi, la doctoresse continue son examen :
— Ce sont ces plaques qui sont les causes de la courbure que vous avez peut-être vue sur des images. Mais rien de tout cela ici, votre verge est bien droite et semble bien rigide.
Comme pour illustrer ses propos, la voilà qui commence à tapoter doucement sur le côté de mon sexe, le faisant balancer de droite à gauche, comme pour en éprouver la raideur ! Ce qui n’a pour autre effet que de la renf o r c e r davantage… De mon côté, j’ai le souffle coupé. Je n’ose même plus respirer, de peur de lâcher un soupir de contentement. Le docteur Liane termine enfin son petit jeu de balancier, et conclut tout sourire :
— C’est une très belle verge que vous avez là !
Ce qui ne manque pas de me faire rougir jusqu’aux oreilles. Mais je ne suis pas au bout de mes peines : elle fait à présent des cercles ou je ne sais quoi avec son pouce, au niveau de mon frein ! Cette fois, je dois carrément me mordre les lèvres pour réfréner un gémissement. Soit-disant pour vérifier la souplesse de mon prépuce ! À quoi joue-t-elle ? Elle doit bien se rendre compte de l’état dans lequel elle me met ?
— Le gland m’a l’air bien irrigué également, continue-t-elle tout en ignorant mon trouble. Et cette fois, je ne peux m’empêcher un « oh » de surprise et de béatitude mélangées, lorsque je la sens frotter mon gland avec la paume de sa main, provoquant une décharge de plaisir au bout de mon pénis.
Mon supplice prend fin, à mon grand soulagement : encore quelques secondes, et je pense que j’aurais pu lui éjaculer dans les mains. Enfin c’est ce que je crois : sitôt le docteur Liane a-t-elle lâché mon sexe, qu’elle me pose cette question pour le moins crue :
— Sinon, vous n’avez pas de problème au niveau éjaculation ?
Je n’en crois pas mes oreilles. Est-ce que j’ai bien entendu ? À nouveau, je bredouille quelques mots inintelligibles. Le docteur Liane poursuit d’un ton calme :
— Eh bien, vous avez l’air assez sensible, si je puis me permettre. Du coup, je me demandais comment vous arriviez à gérer la gêne que vous ressentez lors de vos rapports sexuels, et notamment si cela ne vous perturbait au moment de l’éjaculation.
Je n’ai pas vraiment l’habitude d’entendre une femme employer des termes aussi crus, qui plus est quand elle aurait l’âge d’être ma mère. En plus, je n’ai pas du tout envie de lui expliquer que je n’ai pas eu de relations sexuelles depuis que j’ai commencé à ressentir cette gêne.
— Non, pas de problèmes particuliers… commencé-je, avant qu’elle m’interrompe avec cette phrase qui me laisse coi :
— Bon, de toute façon, on va bien voir.
De quoi ? Ai-je bien entendu ? Je ne peux croire ce qu’elle vient de dire. Elle ne va quand même pas tenter de me faire jouir, là, dans son cabinet ? Alors qu’il y a peut-être quelqu’un d’autre dans la salle d’attente, juste derrière la cloison ? Pourtant, lorsque je la vois s’enduire les mains d’un gel translucide, et plus encore quand je sens sa main venir à nouveau enserrer ma verge toujours gonflée, je dois bien me rendre à l’évidence : le docteur Liane a bien l’intention de me masturber jusqu’à l’éjaculation !
Et f o r c e est de constater qu’elle s’y prend très bien : le mouvement de son poignet est tout d’abord ample et ferme, sur toute la longueur de mon membre. Puis tout à coup, il se fait plus rapide, et se concentre sur l’extrémité du sexe, avant de devenir plus doux, presque un effleurement du bout des doigts. Les yeux mi-clos dirigés vers le plafond, les bras allongés le long du corps, je me laisse faire, submergé par tant de volupté. J’entends à peine le docteur Liane me dire :
— Voilà, très bien, laissez-vous faire. Ça ne devrait plus être très long, vu votre état…
En effet, ça ne devrait plus être long, un peu à mon regret d’ailleurs, tant c’était agréable. Le va-et-vient du docteur Liane se fait plus vif, plus ferme, son poing est plus serré autour de mon sexe. Je ne peux m’empêcher d’ouvrir les yeux pour essayer de croiser les siens : elle me regarde en souriant, et me demande du bout des lèvres si c’est pour bientôt. Incapable de parler, j’acquiesce d’un mouvement de tête, avant de laisser celle-ci retomber sur la table d’examen, dans un râle de plaisir que je ne peux retenir. Le va-et-vient infernal accélère encore, plus vite, plus fort, je sens que je vais exploser…
Et puis plus rien. Comme un grand vide. J’ouvre les yeux de surprise : le docteur Liane me regarde en me lançant un grand sourire amusé, la main en l’air. D’un coup, elle vient juste de lâcher mon sexe, alors que je n’étais qu’à deux ou trois mouvements de l’éjaculation libératrice. Ce que je ressens est indescriptible, à la fois délicieux et insupportable : je suis comme figé à deux doigts de l’orgasme, j’ai l’impression que je suis sur le point de jouir mais rien ne se passe. Enfin si, au bout de quelques secondes, je vois une goutte de sperme venir perler sur le bout de mon gland. Comme une minuscule éjaculation, mais sans l’orgasme libérateur qui vient avec. Je ne comprends pas ce qui m’arrive, dès lors, comment le décrire ? Je pense que la sensation qui s’en rapproche le plus est ce que l’on ressent quand on est sur le poing d’éternuer, mais que ça ne vient pas : bloqué dans le « at… at… aaat… » sans jamais arriver au « tchoum ! » qui doit vous délivrer. Toute proportion gardée, la sensation est assez similaire : elle est juste infiniment plus forte, agréable mais aussi frustrante.
D’ailleurs, je ne peux m’empêcher de me tordre sur la table d’examen et à onduler mon bassin, comme si je cherchais à pénétrer quelque vagin invisible juste au-dessus de moi. Le tout en poussant des gémissements assez pathétiques. Le docteur Liane continue de me fixer d’un air amusé. Puis sans un mot, constatant sans doute non sans déplaisir dans quel état elle m’a mis, elle enserre à nouveau mon sexe, qu’elle recommence à branler doucement, ce qui m’arrache un soupir de contentement. Mais pas pour longtemps : à nouveau, alors que je suis sur le point d’éjaculer, elle cesse tout mouvement, sans ôter sa main cette fois-ci. Elle la garde serrée à la base de mon sexe, et semble prendre un malin plaisir à contrôler mon éjaculation.
— Tenez, regardez ! me dit-elle-même en pointant le bout de mon sexe vers mon visage.
Je redresse la tête, et je regarde : elle tient fermement la base de mon sexe entre son pouce et son index, et d’un mouvement imperceptible des doigts, elle me fait éjaculer une seconde fois, un tout petit jet, à peine plus grand que le précédent, m’accordant à nouveau un mini-orgasme bien insuffisant pour me satisfaire. À nouveau, je laisse mon crâne retomber sur la table en poussant un gémissement plaintif. Je suis à moitié en train de suffoquer, le s a n g me martèle les tempes. J’ai l’impression que je suis en train de jouir en continu depuis une heure. Et pourtant, j’ai toujours autant envie d’éjaculer, c’est intenable. Si le docteur Liane enlevait sa blouse là, toute de suite, et me disait de la prendre, je lui sauterais dessus sans hésiter…
Malheureusement pour moi, ça n’arrivera pas, puisqu’elle décide au contraire de lâcher définitivement mon sexe.
— Bon, je pense qu’il n’y a pas de soucis : pas de problème sensibilité, pas d’éjaculation précoce… Comme je vous le disais, vous avez une superbe verge et pleinement fonctionnelle !
Aussi belle qu’elle soit, ma pauvre verge n’a jamais subi un traitement pareil, et moi non plus ! J’ai à moitié joui à deux reprises, et je suis incapable de définir exactement ce que je ressens : un mélange inédit pour moi de jouissance et de frustration qui me laisse sans voix, les jambes flageolantes. Qu’est-ce qui vient de se passer ? Je ne sais toujours pas. Le docteur Liane retourne alors à son bureau pendant que je rhabille, puis me tend la feuille avec la prescription pour une échographie, et me lance avec sourire quelque peu mystérieux :
— Voilà, ça fera 23 €… Et surtout revenez me voir lorsque vous aurez les résultats de l’échographie, que l’on regarde cela ensemble…
Je paye ma « consultation », et j’acquiesce timidement. Je suis encore tout retourné par ce que je viens de vivre, et il me faudra assurément plus d’une branlette toute à l’heure en rentrant chez moi pour m’en remettre complètement…
Bastian
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